Nous ne sommes pas des saints !
Ce matin dans mon FaceBacn quotidien, un plat de résistance. Ce n'est pas mon président aux 100 millions de messages qui m'écrit, mais Dieu.
Oui, himself. Pour me demander d'être son amie. Dieu et moi en avons 5 en commun. C'est peu.
Oy veh ! J'avoue que j'hésite. Confirm ? Ignore ? Pari pascalien en vue !
Du plus loin de notre cache-cache tacite, la dernière fois que je l'ai trouvé, il n'en est pas revenu.
Je ne pensais pas qu'il me cherchait encore.
Soit. Il m'a retrouvée. Mais après avoir relu l'historique, rien dans le contrat ne dit que nous pouvons/devons êtres ami(e)s.
J'ai même consulté la mémoire familiale : ma grand-mère qui le tenait de sa mère, elle-même le tenant de l'oncle Mardochée a certes toujours prôné le "Pour ou contre, mais jamais sans" ... mais rien concernant une éventuelle amitié.
Surtout qu'il y a quand même un lourd contencieux sur lequel il n'a guère été explicite. Pour ceux qui l'ignorent, dans ma famille il y a déjà eu une vieille histoire entre une Myriam et lui qui a fait beaucoup de bruit sur les tablettes de l'époque et s'est très mal terminée. Faut admettre qu'en ce temps là les privacy settings de BibleBook ne proposaient pas la souplesse d'un FaceBook. En tout cas, je tiens à rassurer ici ma famille et mon amoureux, la vérité, il ne m'a pas pokée.
Donc, après mûre réflexion (dans un miroir sans tain) et le sourire en banane de Joseph mon amoureux, je me suis donc décidée à ne ni confirmer ni ignorer. Surtout qu'en matière d'Art, entre autres, il a grandement besoin de conseils. Mais ça, c'est une autre histoire pour un autre moment.
Pour ceux qui ne sont pas sur FaceBook (il en reste ?) il est partout et donc là aussi.
Enjoy and spread the word ;-)